Dimanche, 15 Avril 2012
Écrit par Ismain. B
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Les travaux du tunnel passant au dessous du Col d’El Kantour dans la commune de Ain Bouziane et devant permettre le passage tant attendu de l’autoroute Est Ouest, viennent de connaitre un tournant décisif à la faveur de la percée du dernier carré de roche séparant les deux cotés du tube gauche du tunnel T4, en date d’hier . A cette occasion le Wali de Skikda a été invité pour vivre en direct l’évènement des derniers coups de pioches du tunnel, aux cotés des responsables de l’entreprise japonaise COJAAL et de l’Agence nationale des autoroutes (ANA).
L’ouvrage est composé de 2 tubes, celui de droite achevé auparavant et celui de gauche d’une longueur de 2 450 m et d’une largeur de gabarit de 13,50 m pour une hauteur de 7,65 m et devant accueillir trois voies de 3,5 m de large chacune avec un trottoir de 1 m de part et d’autre de chaque tube. En matière d’équipement, le tunnel sera pourvu d’installation de vidéo surveillance, de conduit d’aération et d’assainissement avec un poste de contrôle. Les travaux de ce tunnel ont connu de nombreux péripéties marquées par des éboulements importants qui ont ralenti la cadence de réalisation quelque peu ‘’mais n’a pas altéré d’un iota le moral les techniciens de COOJAL qui ont fait preuve d’une ténacité exemplaire’’ a affirmé en aparté un technicien de l’ANA. Cette percée du tunnel devra permettre d’activer les travaux et ‘’la présence du wali témoigne de l’intérêt et du souci des pouvoirs publics pour ce projet d’envergure’’ a souligné le responsable de l’ANA en direction des responsables du consortium japonais, à l’occasion de la collation aux portes du tunnel. A l’issue de la visite, le Wali s’entretiendra avec des membres du service de gardiennage du chantier à qui il reprochera leur fermeture du chantier qui n’a rien à voir avec leurs revendications. Il fera part de son mécontentement pour ce genre d’attitude en citant l’exemple de travailleurs expatriés venant de Chine ne percevant guère plus de 200 euros mais exécutant un travail plus pénible que celui des algériens pour le même salaire sans compter l’éloignement de leurs domiciles.
Écrit par Ismain. B
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Les travaux du tunnel passant au dessous du Col d’El Kantour dans la commune de Ain Bouziane et devant permettre le passage tant attendu de l’autoroute Est Ouest, viennent de connaitre un tournant décisif à la faveur de la percée du dernier carré de roche séparant les deux cotés du tube gauche du tunnel T4, en date d’hier . A cette occasion le Wali de Skikda a été invité pour vivre en direct l’évènement des derniers coups de pioches du tunnel, aux cotés des responsables de l’entreprise japonaise COJAAL et de l’Agence nationale des autoroutes (ANA).
L’ouvrage est composé de 2 tubes, celui de droite achevé auparavant et celui de gauche d’une longueur de 2 450 m et d’une largeur de gabarit de 13,50 m pour une hauteur de 7,65 m et devant accueillir trois voies de 3,5 m de large chacune avec un trottoir de 1 m de part et d’autre de chaque tube. En matière d’équipement, le tunnel sera pourvu d’installation de vidéo surveillance, de conduit d’aération et d’assainissement avec un poste de contrôle. Les travaux de ce tunnel ont connu de nombreux péripéties marquées par des éboulements importants qui ont ralenti la cadence de réalisation quelque peu ‘’mais n’a pas altéré d’un iota le moral les techniciens de COOJAL qui ont fait preuve d’une ténacité exemplaire’’ a affirmé en aparté un technicien de l’ANA. Cette percée du tunnel devra permettre d’activer les travaux et ‘’la présence du wali témoigne de l’intérêt et du souci des pouvoirs publics pour ce projet d’envergure’’ a souligné le responsable de l’ANA en direction des responsables du consortium japonais, à l’occasion de la collation aux portes du tunnel. A l’issue de la visite, le Wali s’entretiendra avec des membres du service de gardiennage du chantier à qui il reprochera leur fermeture du chantier qui n’a rien à voir avec leurs revendications. Il fera part de son mécontentement pour ce genre d’attitude en citant l’exemple de travailleurs expatriés venant de Chine ne percevant guère plus de 200 euros mais exécutant un travail plus pénible que celui des algériens pour le même salaire sans compter l’éloignement de leurs domiciles.